Lucy Nyu Dunpeal
Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 30/08/2008
Feuille de personnage Ami(e)s: / Amour: Jae-In Arme: L'arme de Jae-In [sabre]
| Sujet: Quand les souvenirs reviennent... Dim 23 Nov - 2:38 | |
| Je me réveilla à l'aube se matin là. Et comme à mon habitude, je n'avais pas réussis à fermer l'oeil de la nuit. Car, comme à chaque fois, les visages de Meier et de Jae In venaient me hanter. Revoyant cette sordide nuit décidée à me rendre folle. Je descendis silencieusement l'escalier pour ne reveiller personne. Je m'arrêta devant une grosse porte de bois, ouvragée de volute d'une infinie finesse. Ma main se posa délicatement sur la poignet, la fesant basculer légèrement. Un petit clic résonna dans l'étroit hall d'entrée. Une timide lueur inonda l'endroit en cette heure matinale. Je passa alors dehors, refermant sur moi la lourde porte.
Je marcha le long de l'étroite rue qui menait à la place centrale de la ville, là où l'animation en pleine journée se fesait pesante. Quand, une fois arrivée au centre, je ralentis mon alure regardant plus en détails l'endroit. Mon regard ne s'atardait guere sur le nom des boutiques, mais l'une d'elle attira mon attention. C'était le petit café. Là où, quelque jours auparavant, lors de mon arrivée, j'avais entendu une dispute dès plus grotesque qui m'avais été donné de voir. Revoyant momentanément ce moment, je me souvins alors, que le jeune homme aux cheveux blancs-gris m'avait laissée perplexe. Il dégageait un parfum dès plus étrange. Mais il devait être loin maintenant, il était trop tard pour s'en soucier maintenant.
Je repris donc ma marche lente. Suivant une ruelle étroite, puis bifurquant sur un petit chemin sinueux. Mes pas venaient de me guider malgrè moi vers le cimetière de la petite ville. Un mince brouillard encadrait quelques tombes où pour certaine, le nom n'était plus lisible. Ma main droite effleura l'une d'elle me fesant replongeait innévitablement dans une nostalgie. La froideur de la pierre sous me doigts me pincait le bout de coeur qui était toujours vivant.
[Voix] Je sais à quoi tu penses Lucy! dit alors une voix masculine glaciale qui était peine audible. [Lucy] Tu ne peux savoir shi (Nota : Shi est le mot japonais pour dire "mort"). Tu n'es qu'un parasite qui ne peut comprendre ce genre de chose. [Shi] Je ne suis pas qu'un parasite Lucy, sa voix se fit plus glaciale encore. Comment peux-tu me traiter ainsi, moi qui fait parti intégrante de toi et qu... [Lucy] TU NE FAIS PAS PARTI DE MOI! Tu as été placé là par des apprentis scientifique! dis-je alors en hurlant en serrant ma main gauche pour que Shi se taise. [Shi] Il y a un point à ne pa franchir Lucy, souvint-en! Dans peu de temps, tu auras besoin de moi et tu le sais!
Une douleur dans ma main gauche pointa tel un poignard qu'on s'obstinait à vouloir enfoncé. Cette douleur je ne peux la supporter mais elle est toujours le signe que Shi vient de se refermer.
[Lucy] Quelle horrible malédiction d'être obligé de vivre avec un parasite comme lui jusqu'à ce que je ne meurs. | |
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Akashianne Vampire
Nombre de messages : 7 Date d'inscription : 28/08/2008
| Sujet: Re: Quand les souvenirs reviennent... Ven 28 Nov - 23:25 | |
| Akashianne avait été laissé par Kaname après sa visite, elle avait réussit a lui demander quelques jours, en effet, le jeune homme n'avait voulu la laisser seule, ainsi elle avait négocier que quelqu'un vienne, mais qu'il lui laisse quelques jours pour prendre la décision qui pourrait changer sa vie... En effet, en l'asbence d'Aiko qui commençait a durer un peu trop, le directeur avait voulu qu'elle rejoigne l'académie, hors Akashianne avait toujours refuser et si Aiko revenait, non elle ne voulait qu'elle soit seule lorsqu'elle reviendrait, mais aiko ne revenait ....
La jeune fille avait décidé de sortir pour réfléchir, bien qu'ignorante de sa nature vampirique, Aiko avait décidé de planté une tombe au cimetière pour donner l'illusion de l'enterrement de Terruki, ainsi les pas de la jeune fille l'avait conduite dans son égarement près de la tombe, ses larmes perlant sur son visage, ne sachant quoi choisir, abandonner la maison que aiko et elle avait prise a la mort de terruki, ou quoi qu'il en coute continuer a y vivre.... Un désir sans fin, entre deux passions, l'une de par cet homme qui lavait envouté cette nuit là.....
Mais elle n'avait entendu la jeune femme qui se tenait non loin de là, ainsi c'est lorsqu'elle avait contre tout ordre enlever son rosaire pour l'observer pour prendre sa décision... En cet instant sa tête lui fit mal, et ses yeux se fermant, elle les réouvrirent pour les faire apparaître d'un rouge écarlate, se relevant, son rosaire toujours serrée d'une main... Une soif, une odeur attirante... Pas a pas elle se dirigea vers Lucy, sans amiosité, juste une enfant ayant soif d'une liqueur qu'elle connaissait peu...
Sa main libre pris la main douloureuse de la jeune femme, et ses yeux se fixèrent sur Lucy, des yeux intrigués, tenant tour a tour d'observation de la main au regard inconnu.... | |
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Lucy Nyu Dunpeal
Nombre de messages : 8 Date d'inscription : 30/08/2008
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| Sujet: Re: Quand les souvenirs reviennent... Mar 3 Mar - 23:10 | |
| Je venais à peine de finir ma phrase, qu'une main me saisie celle qui quelques seucondes avant parlait en tout impudence. Prise d'un frisson sans pareil, je regarda le propriétaire de cette main. Un regard d'un rouge vif me fixait puis se réfugiait sur ma main. Un va et vient que je ne comprenais pas. Mais comment avais-je fais pour ne pas sentir la présence de cette créature? Je retira ma main de cette étreinte peu commune.
Ma main droite se dirigea instantanément vers mon dos, là où se trouvait toujours son sabre. Mais cette fois-ci il n'y était pas. Je l'avais oubliée dans la chambre de l'auberge. Je me trouvais en bien facheuse posture. Mon regard parcoura les environs à la recherche d'un objet pouvant me servir à la destruction de la créature. Je venais de repérer un long bout de bois pointu en ses extrémitées. Je le ramassa rapidement, et le pointa devant la créature.
"Qu'est-ce que tu me veux? Parle monstre pendant que tu le peux encore!"
Dis-je alors le ton nerveux du fait que je n'avais pas mon tendre ami à mes côtés. Mais je repris peu à peu confiance en moi. Mon souffle reprit, les battements de mon coeur se remir à battre le plus faiblement qu'il lui était possible, ce qui était presque inaudible pour ainsi dire. | |
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| Sujet: Re: Quand les souvenirs reviennent... | |
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